Il est communément admis qu’aux échecs, il existe trois parties ou période dans le jeu. La phase d’ouverture, le milieu de partie et la fin de partie. Il faut savoir que ces trois parties ne se gèrent pas tout à fait de la même manière.
Au début du jeu, c'est-à-dire à l’ouverture ou au premier mouvement (first move en anglais…), la mémoire est particulièrement sollicitée. Pourquoi ? Parce que les joueurs ne réinventent pas la poudre et que l’on sait, par statistiques, ce qui est bon comme déplacement pour les noirs ou pour les blancs. Toute cette réflexion a mené les joueurs, petit à petit, à s’intéresser à la théorie des ouvertures et aux variantes possibles. Des études très complètes ont été menées sur la question depuis Greco, Philidor (etc.) et presque tout à déjà été écrit sur le déplacement des pièces au moins jusqu’au 20e coup… Cela veut dire qu’avec une bonne mémoire, on pourra toujours s’en sortir en début de partie (quoi que…). Le milieu de partie est différent.
La préoccupation du joueur va être de contrôler un maximum de cases et surtout de mettre en œuvre sa stratégie d’attaque ou de défense (ou les deux). Cela veut dire aussi que certaines pièces seront plus actives au moment de l’ouverture du jeu (comme les cavaliers) et un peu moins en phase de milieu de partie (le fou prendra la relève en milieu de partie, là où le jeu s’éclairci).
Le final de partie se joue souvent avec quelques pièces et quelques pions de chaque bord. Les pions, de part leur capacité de « promotion », sont très importants durant cette phase ainsi que les Tours. Bref, on peut être « bon » en ouverture et moyen en final de partie. Un grand joueur doit être « bon » sur l’ensemble des phases.
Résumons-nous avec des détails en plus :
Les ouvertures
Objectifs :
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Le milieu de partie
Objectifs :
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La fin de partie
Objectifs :
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